INTRODUCTION À LA CUISSON SANTÉ PAR LA DÉPRESSION

De nombreux peuples ont affirmé, génération après génération, que le feu « détruit l’aliment ». On retrouve cette idée dans les traditions orales d’Afrique, dans la Chine ancienne, et même dans les textes bibliques. Pourtant, l’industrialisation de la cuisine a troqué la patience contre la puissance, la justesse contre le spectaculaire, en balayant sans remords cette sagesse ancestrale. Le feu s’est emballé. La cuisson est devenue performance, vitesse, démonstration technique.
Et dans ce glissement silencieux, le cœur même du geste s’est abîmé. Des courants comme le crudivorisme ou le régime paléo rappellent que la cuisson n’est pas neutre. Mais tout n’est pas blanc ou noir. Il ne s’agit pas de bannir, mais d’équilibrer. Comprendre comment la cuisson agit, c’est reprendre la main sur ce que nous mangeons.
Or cuire, ce n’est pas simplement chauffer, c’est porter un aliment à une certaine température, pendant un certain temps, dans un environnement contrôlé, pour le transformer de manière irréversible : du cru au cuit. La cuisson agit en profondeur sur une matière vivante, modifiant un équilibre fragile : celui des vitamines, des enzymes, des arômes, des textures.
C’est un acte qui engage le corps, la santé, l’environnement, souvent sans qu’on en ait pleinement conscience. Le choix de la température, du temps de cuisson et de la technique appliquée génère des effets croisés sur le résultat final, dans l’espoir d’obtenir un aliment à la fois savoureux, digeste et nourrissant.
Mais une cuisson mal maîtrisée altère profondément les aliments : elle détruit des nutriments essentiels, assèche, stresse, appauvrit les textures, et génère des composés toxiques. Trop longue ou trop forte, elle détruit la majorité des vitamines, des oligo-éléments, et peut entraîner la formation de molécules nocives : acrylamide, amines hétérocycliques, benzopyrènes…
Pourtant, nous continuons à cuire comme avant, par réflexe ou par habitude, malgré les alertes scientifiques, tout en essayant de compenser ces pertes avec des compléments alimentaires coûteux ou des artifices médicamenteux superflus. On chauffe vite, fort, à l’aveugle. Pendant ce temps, les discours marketing continuent à vanter des cuissons « douces » à 100°C ou « saines » à 180°C… en contradiction flagrante avec les données scientifiques.
Chez VITALID, nous avons choisi de revenir aux faits.
Alors, que sait-on vraiment aujourd’hui ?
- Les vitamines hydrosolubles commencent à se dégrader dès 60 °C.
- Les températures au-delà de 65 °C deviennent problématiques pour de nombreux composés sensibles.
- Les étiquettes nutritionnelles ne tiennent jamais compte de l’effet de la cuisson : une aberration silencieuse.
- Les arômes s’évaporent très tôt.
- Les premières toxines thermiques apparaissent dès 120 °C.
VITALID, la Révolution Douce

VITALID corrige une dérive, restaure une logique oubliée. Il ne promet pas de miracles : il réconcilie juste le bon sens, la science et la nature.
VITALID veut redonner à la cuisson son rôle originel : un geste de soin, un acte de santé, et un plaisir partagé.
Nous avons développé une cuisson inversée sous dépression qui :
- Commence à froid
- Monte en température lentement
- Ne dépasse jamais les 65°C
- Améliore la tendreté
- Préserve le croquant, les couleurs
- Utilise la dépression contrôlée pour accélérer les temps de cuisson sans agresser l’aliment
Une cuisson santé qui :
- Préserve les vitamines et les nutriments
- Évite les toxines liées à la chaleur
- Optimise la tendreté, les jus et les arômes
- Économise jusqu’à 80 % d’énergie
- Réussit sans expertise, sans stress
- Diminue dans de nombreux cas les temps de cuisson
- Offre une simplicité fiable et accessible
La cuisson redevient ce qu’elle aurait toujours dû être : Un soin, une attention, un acte vital.
Cuire Santé, c’est vivre mieux.
Pour VITALID :
- La cuisson doit nourrir, pas impressionner.
- La technologie doit simplifier, pas compliquer.
- L’assiette doit réconforter, pas stresser.
VITALID a conçu un système plus doux, plus simple, plus sain, plus humain, plus précis, plus respectueux du vivant, fondé sur la science et l’observation.
Une révolution discrète mais essentielle, qui ne change pas vraiment les habitudes, mais qui transforme intelligemment votre cuisine.
VITALID : la cuisson rationnelle et respectueuse

VITALID ne cherche pas à faire « comme les autres » : aucun ne repose sur une approche vraiment rationnelle et ne veut pas non plus complexifier ce que la nature fait déjà parfaitement.
La dépression permet d’accélérer l’agitation moléculaire provoquée par la chaleur, réduisant mécaniquement son besoin en énergie, son empreinte carbone et les pertes nutritives.
VITALID a transposé intelligemment un phénomène naturel : l’ébullition précoce de l’eau en montagne, dans un ustensile ultra-abordable : un couvercle à dépressurisation contrôlée.
En abaissant la pression à l’intérieur du contenant, on accélère la rupture des liaisons chimiques reliant les molécules entre elles donc l’effet cuisson. Résultat : la cuisson démarre plus tôt, à température plus basse, et devient plus rapide, plus efficace, sans jamais agresser l’aliment.
Cette approche n’est ni ésotérique, ni technoïde, elle est juste douce, intelligente, simple, humaine, nourrie par la science et la sagesse des anciens. Elle reste toujours en deçà des seuils critiques de chaleur, là où les aliments vivent encore.
Chez VITALID, on ne chauffe pas rapidement et fort, mais on cuit juste et vite. Pour VITALID, cuire, c’est nourrir. Nourrir, c’est transmettre.
Mais bien plus que des mots, la première bouchée vous convaincra mieux qu’un long discours.